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L'espoir là où on ne l'attend pas
Didascalie: Voudrait vraiment écrire, a des milliers de choses en tête. Un grand souci occupe son esprit et son coeur, elle ne peut/veut pas en parler ici. Pourtant, comment écrire quand l'esprit est envahi?
Texte: Fleur de basilic.
Je n'avais jamais vu de fleur de basilic, je suis trop urbaine. Je m'inquiétais pour cette petite plante, il faut dire qu'elle est fragile. Nous ne sommes que des jardiniers amateurs et je suis de nature angoissée. Alors que notre premier basilic a succombé, je pensais que celui-ci ne résisterait pas longtemps. J'avais tort.
Le voilà qui me présente fièrement cette petite fleur blanche, nichée au milieu de jeunes feuilles d'un vert tendre. Je devrais apprendre à être plus optimiste.
Quelques fois, on n'imagine même pas qu'un petit basilic d'appartement peut fleurir, on n'imagine même pas que les choses peuvent allier mieux que ce qu'on pensait. Le temps qui passe m'apprend qu'on ne sait jamais ce qui peut arriver, que tout est à construire et à découvrir. Je ne savais pas qu'un basilic pouvait fleurir. Et, je ne savais pas que le téléphone sonnerait ce matin.
Cela me fait penser à une discussion que j'ai eue il y a quelques jours. Certaines personnes croient au coup de foudre éternel, et d'autres ont perdu foi en l'amour. Je crois qu'on ne peut jamais être sûr de vivre avec quelqu'un toute sa vie. On ne sait jamais ce qui peut arriver. L'amour ça se construit. C'est pour ça que je suis persuadée qu'on peut seulement être sûr de la possibilité de partager sa vie entière avec quelqu'un.
La vie est pleine de tournants et de suprises, il ne faut jamais abandonner. Une vie, comme un amour, ça se construit.
Alors, je garde espoir et je regarde une petite fleur de basilic, inattendue et apaisante.
Tu vas guérir, j'y crois.
Texte: Fleur de basilic.
Je n'avais jamais vu de fleur de basilic, je suis trop urbaine. Je m'inquiétais pour cette petite plante, il faut dire qu'elle est fragile. Nous ne sommes que des jardiniers amateurs et je suis de nature angoissée. Alors que notre premier basilic a succombé, je pensais que celui-ci ne résisterait pas longtemps. J'avais tort.
Le voilà qui me présente fièrement cette petite fleur blanche, nichée au milieu de jeunes feuilles d'un vert tendre. Je devrais apprendre à être plus optimiste.
Quelques fois, on n'imagine même pas qu'un petit basilic d'appartement peut fleurir, on n'imagine même pas que les choses peuvent allier mieux que ce qu'on pensait. Le temps qui passe m'apprend qu'on ne sait jamais ce qui peut arriver, que tout est à construire et à découvrir. Je ne savais pas qu'un basilic pouvait fleurir. Et, je ne savais pas que le téléphone sonnerait ce matin.
Cela me fait penser à une discussion que j'ai eue il y a quelques jours. Certaines personnes croient au coup de foudre éternel, et d'autres ont perdu foi en l'amour. Je crois qu'on ne peut jamais être sûr de vivre avec quelqu'un toute sa vie. On ne sait jamais ce qui peut arriver. L'amour ça se construit. C'est pour ça que je suis persuadée qu'on peut seulement être sûr de la possibilité de partager sa vie entière avec quelqu'un.
La vie est pleine de tournants et de suprises, il ne faut jamais abandonner. Une vie, comme un amour, ça se construit.
Alors, je garde espoir et je regarde une petite fleur de basilic, inattendue et apaisante.
Tu vas guérir, j'y crois.
Ecrit par Aliena, le Mardi 4 Juillet 2006, 11:39 dans la rubrique "Journal de bord".
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