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Je pense à... toi!
Fin proviosoire de la canicule. C'est dingue comme c'est facile de ne pas faire grand'chose quand on a rien à faire d'obligatoire. J'ai une liste de choses à faire, petites révolutions ou grands détails. Tout ça me donne le temps de penser. encore. Jense à tant de choses sur mon chemin. Je pense à cette vie si incroyable. Au son de "Fix you" et de "A message" de Coldplay (tombée sous le charme hier à la Fnac).
Réparations, avancement. Je suis devant la montagne. Je prends mon piolet, ma corde, mon courage en boîte de 2kg et je grimpe. C'est beau cette montagne. Quand on est à ses pieds, elle a l'air si énorme, tout a l'air infranchissable. Les obstacles seront là. Ce sera difficile. Je tomberai, il fera trop chaud, trop pluvieux. Tremblements, pierres coupantes. Bouts de ficelles, chocolat fondu. Une Edelweiss dans un coin d'herbe. Tu es là. Je te prends par la main. Prendre soin de toi. Toi de moi. Continuer. Sourires échangés, regards complices. Puis vague froide, vent lointain. J'effleure tes doigts. Nous gravissons ensemble. Encore plus haut, sur le chemin raide, la douce pente herbeuse, les rochers gris. Ma propre montagne m'attend aussi. Ensemble.
C'est si beau. Le soleil se lève dix fois. Le monde respire dans ton coeur. Bientôt, on sera si haut. L'air est plus frais, plus pur, il court dans nos corps, nos coeurs. Le sommet est si près. Merveilles d'un monde unique. Ne jamais abandonner. Ensemble. Le présent nous berce, le futur nous tend les bras. Déjà tant de choses parcourues, le chemin accompli est long, parsemé d'oasis et de trous. La route nous attend, la cime brille déjà, pleine de promesses....
You don't have to be alone.... You don't have to be on your own.... And I'm nothing on my own.
Réparations, avancement. Je suis devant la montagne. Je prends mon piolet, ma corde, mon courage en boîte de 2kg et je grimpe. C'est beau cette montagne. Quand on est à ses pieds, elle a l'air si énorme, tout a l'air infranchissable. Les obstacles seront là. Ce sera difficile. Je tomberai, il fera trop chaud, trop pluvieux. Tremblements, pierres coupantes. Bouts de ficelles, chocolat fondu. Une Edelweiss dans un coin d'herbe. Tu es là. Je te prends par la main. Prendre soin de toi. Toi de moi. Continuer. Sourires échangés, regards complices. Puis vague froide, vent lointain. J'effleure tes doigts. Nous gravissons ensemble. Encore plus haut, sur le chemin raide, la douce pente herbeuse, les rochers gris. Ma propre montagne m'attend aussi. Ensemble.
C'est si beau. Le soleil se lève dix fois. Le monde respire dans ton coeur. Bientôt, on sera si haut. L'air est plus frais, plus pur, il court dans nos corps, nos coeurs. Le sommet est si près. Merveilles d'un monde unique. Ne jamais abandonner. Ensemble. Le présent nous berce, le futur nous tend les bras. Déjà tant de choses parcourues, le chemin accompli est long, parsemé d'oasis et de trous. La route nous attend, la cime brille déjà, pleine de promesses....
You don't have to be alone.... You don't have to be on your own.... And I'm nothing on my own.
Ecrit par Aliena, le Jeudi 30 Juin 2005, 10:21 dans la rubrique "Journal de bord".
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Commentaires :
newton |
Une edelweiss dans un coin d'herbeJe voudrais te faire pousser un champ d'edelweiss, l'un de ces champs tout blancs qu'on ne trouve que dans l'inatteignable de la roche. Inatteignable, pas si sûr que ça: il est toujours possible de l'atteindre, mais à force de patience, à force de courage, souvent dans la main d'un autre... Ce champ d'edelweiss, il est là, à la fois tout près et intouchable. Il est tout près parce que nous le voyons qui s'étend majestueusement, comme étendant son empire au-delà de toutes les frontières de notre être. Il est loin parce que nous ne pouvons le toucher, si nous voulons nous coucher là, sur ce tableau de rêve, il disparaît aussitôt: toujours à venir, mais déjà là... C'est la difficile chose à comprendre, à apprendre, et cet apprentissage n'est jamais fini... J'espère que nous pourrons le partager à jamais...
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à 19:08